La presse parle de Je suis favela ! Voici les critiques
Le Monde : La littérature entre dans les favelas
« Les écrivains se sont engagés à décrire la violence et les expériences d’individus tenus pour marginaux ou marginalisés. Nombre de leurs textes sont marqués au sceau de l’indignation. »
Une littérature des favelas ?
« Je laisse à d’autres éditeurs le choix de publier des livres racontant les aventures des brunettes d’Ipanema (quartier chic de Rio, NDLR). Moi, je préfère parler des métisses de la Rocinha (la plus grande favela du Brésil, NDLR)… Histoire de choix et d’engagement politique personnel… »
Musique et Culture : « On ne fait plus beaucoup de livres depuis de longs mois, mais quand on en présente un, on aime bien quand ça sort du lot, promouvoir un projet plus qu’une histoire, et bien au-delà du contenu, Je suis Favela est une belle aventure ! »